Maurice Rocher
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Sa vie avec son oeuvre

«… plus j'avance, plus l'acte de peindre est jouissance, celle de peindre avec ses doigts trempés dans la pâte colorée, celle de faire des pirouettes, (plastiques), et de retomber sur ses pieds, et à travers ce geste, et dans la folie du geste, de dire la passion, la vie, la mort.

Bien sûr, il a fallu payer le prix, la liberté est chère, mais demeure la toile gagnée…, cette toile dont je ne comprends pas qu'elle soit sortie de moi, dans une bataille folle, et à laquelle je ne peux plus toucher parce que tout est dit pour l'éternité.

Connu ou inconnu, qu'importe, le vent de l'Histoire balaiera tout et chacun prendra sa place, je ne sais quelle sera la mienne, mais je sais qu'on ne m'enlèvera pas que ma vie et ma peinture ne furent qu'une seule chose. »

MR extrait du catalogue de Troyes

, Août 1985

Regard sur le peintre Maurice Rocher, par Alain Lemoine

"L'œuvre de Maurice Rocher est un long cri probatoire, un cri déchirant face à notre condition prise dans les rets d'un questionnement sans fin. L'expressionnisme de Maurice Rocher n'est pas une approche de l'homme en miroir de lui-même, mais se réclame d'une pensée plus haute, plus exigeante, plus profonde, celle de témoigner de la tragédie humaine, de l'angoisse au-devant du mystère des choses, de la difficulté d'être. Chateaubriand disait que la souffrance était une prière. Dostoïevski s'agenouillait devant elle. L'expressionnisme serait donc sacré, avec toute l'ambiguïté du sens de ce mot, heureusement sorti des seules sentes religieuses ; sacré dès qu'il rend compte du destin, et de ce qui le compose.

Les couples de Maurice Rocher suivent leur parcours. Ils naissent, ils vivent, ils meurent. La palette traduit magnifiquement ce cheminement. Le rouge violent de la passion le cède au rose pâle de l'amour déclinant, survient la couleur fauve des affrontements, et bientôt le gris, la cendre des sentiments consumés. De même les suppliciés s'habillent-ils au fil de la palette du même rouge, du même olive, du même gris cendré avant que de franchir le Styx, et c'est la manière des dernières toiles que Maurice Rocher passait à la lame de rasoir, raclant la pâte jusqu'à la trame pour mieux atteindre l'essence des choses ; immatière des suppliciés devenus « vitrail » que la lumière traverse, venue d'un autre monde.

Cette manière illustre le propos de Rembrandt disant que toute technique renvoie à une métaphysique. Car il s'agit bien de cela. Une œuvre entièrement vouée à l'interrogation, transcendante et intemporelle, dans le droit fil de celle qui anime la pensée des grands témoins, ces « passants considérables », où la tendresse n'est pas absente pour mieux nous convaincre que, peut-être, tout n'est pas perdu puisqu'existe la solitude partagée."

Alain Lemoine, ami et collectionneur

Maurice Rocher


1918 - 1995

Né le 1er août 1918 à Evron, Mayenne, ascendance paysanne et artisanale , père employé des chemins de fer. Découvre, dans sa ville natale, les ambiances de foire et chevaux, du Café de sa grand-mère. Vit à Evron jusqu'en 1930. Grand-oncle peintre portraitiste à Laval, commence à peindre à 14 ans. Etudes au Mans, de 1930 à 1936, Ecole des Arts Appliqués, Le Mans, 1934-1936. En 1936, voyage en Belgique, découverte des Expressionnistes flamands, rencontre de Maurice Denis à l'Abbaye de Solesmes. 1936-1939, Paris, École des Beaux-Arts, et Ateliers d'Art Sacré avec Maurice Denis et Georges Desvallières, période mystique, peintures à sujets religieux, vitraux et fresques, nombreux séjours à l'Abbaye de Solesmes. Il se marie en 1944 avec Geneviève Chevard avec qui il a eu cinq enfants de 1944 à 1952.

1947 : professeur aux Ateliers d'Art Sacré, fondés par Maurice Denis.

1948-1952 : cofondateur et professeur au Centre d'Art Sacré.

1949-1950 : pensionnaire à la Casa Vélasquez, Madrid.

1952 : Prix de la Jeune Peinture, nombreux séjours en Espagne, Belgique, Italie.

1944-67 : vit à Paris de 1944 à 1950, à Versailles et près de Versailles depuis 1950.

Joseph Pichard, du Centre d'art sacré :

« Maurice Rocher est arrivé à Paris juste à temps pour recueillir les leçons de Denis et Desvallières. Et c'est en partie grâce à lui que, dans les lieux mêmes où enseignèrent pendant vingt-cinq ans ces deux maîtres, une école demeure où de jeunes artistes peuvent encore s'initier aux programmes et aux techniques spéciales à l'art d'église. Maurice Rocher était d'autant mieux désigné pour prendre leur succession… [...] qu'il fut parmi leurs élèves un des seuls à ne pas les imiter. Ainsi s'affirmait tôt une personnalité qui se manifesta par un dessin très construit, une palette qui ne devait bientôt plus connaître que le blanc et le noir (à peine quelques terres…). Maurice Rocher fut tenté par le vitrail et il se passa là une sorte de miracle. Lui, dont on peut dire qu'il n'a jamais vu sortir du tube un rouge de cadmium, un vert émeraude, un bleu de cobalt, voilà qu'il commence à jouer avec ces explosifs que sont les verres de couleur… Maurice Rocher est de ceux qui sont venus, à la coupure du demi-siècle, assurer fort à propos, une relève nécessaire ».

Maurice Rocher gagne sa vie en réalisant des vitraux. Principalement avec le maître-verrier Jacques Degusseau.

1957 : Il s'installe à Versailles dans une grande maison au milieu des arbres, mais sans atelier véritable. Il se fait construire, plus tard, dans le jardin, une maison dont l'atelier a la lumière et le volume désirés.

« A Rome ..., je ne pouvais plus séparer les façades d'église, les palais, les places, de l'air respiré, des fruits sur la table, et surtout des femmes rencontrées et de cet air sensuel qui y règne, de cette volupté des choses et des gestes dans la ville... » MR

1968 : « De douloureux évènements comme la mort de son fils unique, Jean-Baptiste, une longue recherche picturale d'une rigueur telle que rien - et surtout pas le goût du public ou les intérêts des marchands - ne vient jamais l'infléchir, obligent Maurice Rocher à se confronter aux grandes interrogations que sont la vie, la mort, l'amour, Dieu, l'échec et l'absurdité de la vie humaine. » Son ami mayennais le Père Maurice Gruau, 1990

1972 : « P... hier, enfin venu, mais qui me redit qu'il ne peut rien faire pour moi tout en appréciant semble-t-il ma peinture... Je suis donc contraint à exposer chez M... » MR

Exposition « Vingt églises » Galerie Jacques Massol, Paris :

« En quittant le vernissage de Lindström, P..., beaucoup de monde…, je retrouve mes églises exposées chez M… et ... le désert... Alors que peut valoir une peinture dont personne ne veut. » MR

1975 : « Je ne fais plus de vitraux, je ne vends pas de peinture… Il fallait, de toute façon vendre cette grande maison… » ; « Des toiles sont partout dans le couloir, les unes sur les autres… » MR

1976, Exposition Galerie Ariel, Jean Pollac, Paris :

Il côtoie là les peintres John Christoforou, Bengt Lindström, Karel Appel, Orlando Pelayo, avec qui il se lie d'amitié, et Roger-Edgar Gillet. « Il aurait dit hier soir, d'une part, « il fallait faire quelque chose pour cet homme là » et encore : « je sais que je ne gagnerai pas d'argent avec lui. C'est de la grande peinture, mais invendable… » » MR

1979 : « Hier… vernissage chez « Ariel » et signature de mon livre. » MR

« sortir par zéro degré représente une aventure... hier, j'avais sur moi, en plus de la chemise et du gilet de corps, quatre pull-overs, une veste, trois peaux de mouton... mon pardessus et un autre pardessus jeté sur les épaules. Malgré cela... je ressentais le froid comme si je m'étais plongé dans l'eau froide … » MR

1981, Rétrospective au Musée de Laval : « Bien sûr, il fallait faire un choix et décider de ce qui serait mis en évidence, du peintre ou du verrier. Ce fut la peinture qui l'emporta… »

« Une maison blanche, un homme apparemment tranquille, un salon paisible… Puis quelques marches, l'Atelier… là seulement il vit, démesurément… Maurice Rocher va vous faire assister au défilé de ses personnages, de sa vision, de son interrogation sur l'homme et sur la société… J'ai souvent accompli ce rite de la visite à l'Atelier. Je suis toujours sorti de ce cérémonial éprouvé par la vision d'une réalité du monde impliquant questions et exigences. » Jean Lemanceau, L'Hospitalet

1982 : « Hier dans l'atelier, un nouveau couple, passionné par ma peinture. Ressentant tout cela par le dedans… [...] cet homme hier, me disait devant l'ensemble de mes toiles « vous affirmez n'avoir plus la foi, et pourtant toute votre peinture dit le contraire. Quelque chose de religieux, de sacré en émane malgré vous. » » MR

1983 : « Les D… et la façon extraordinaire dont ils ont accueilli mes toiles chez eux et les ont encadrées. » MR

« Je saurai sans doute plus tard que cette période actuelle était peut-être une sorte de bonheur, où jour après jour, je pouvais peindre, dépassant mes ennuis de santé, dans une sorte de paix domestique et l'attention tendre et sans faille de G… » MR

« M… M… revient demain. Tout semble démarrer sur le plan peinture… Cinq cents toiles dans sa fondation… » MR

Août 1983 : « Mes dernières toiles de ces trois derniers mois vont plus loin que jamais. Celle d'hier, d'aujourd'hui m'effraie par sa liberté précisément… Dans ces derniers couples, tout semble dit, et davantage sans doute cette sorte d'imperfection technique du premier jet. » MR

« Malgré mon seul œil et mes genoux malades ai peint un 60…, un 100... et je voudrais peindre sans souffler un 80… Est-ce la peur de ne pouvoir bientôt plus peindre. » MR

1984 : La photographie du prêtre polonais Jerzy Popieluszko à la morgue l'entraîne dans un nouveau thème, celui des « Suppliciés ».

« Hier seconde visite de deux « amateurs » A.L… et R.Ch… Ils m'ont acheté plusieurs toiles… « Maintenant que nous connaissons votre peinture, plus rien d'autre n'existe… On voudrait tout avoir ». » MR

Exposition de gouaches, Galerie de Bellechasse, Paris, et signature du livre de gouaches, lavis et monotypes : « Femmes et Notables ». A l'occasion de la sortie de ce livre, Jean-Marie Dunoyer écrit : « N'admettant l'art que poussé à son paroxysme, Maurice Rocher était rangé parmi les expressionnistes les plus véhéments d'un siècle en effervescence, phénomène exceptionnel dans un pays épris de clarté et de mesure. »

« M… M… J'apprends beaucoup de choses qui me font douter de tout ce qu'il m'a promis… » MR

« Quelques visiteurs nouveaux…Tous subjugués… Je termine toujours par la série des « suppliciés » parce qu'ensuite ils ne veulent plus rien voir… « comment, ici, cette peinture énorme, et vous êtes inconnu »… » MR

1985 : Rétrospective 1965 - 1985, Mairie du XVIIIè arrondissement, Paris.

1986, Rétrospective Musée d'Art Moderne, Troyes « le choix du peintre » : « Hier, en découvrant cette centaine de toiles, ces quarante ans de peinture accrochés dans ce musée j'ai dit : « que tout reste dans l'état, je donne tout… et je meurs… »… Ma peinture ainsi présentée prenant sa dimension de musée. » » MR

1986 : Rétrospective « L'Expressionnisme et le Sacré » Musée de la Castre, Cannes Chapelle Ste-Anne.

1987 : Édition du 1er tome « Maurice Rocher », préface de Gérard Xuriguera aux éditions Mayer.

« Je viens de conduire G… à l'hôpital. Comme je voudrais qu'elle soit déjà revenue… je sais mieux encore ce qu'elle fût, ce qu'elle est de générosité, d'abnégation, de fidélité... je sais aussi que mon œuvre lui est liée, qu'elle s'est faite avec elle, par elle, … elle m'a donné plus que tout autre femme. » MR

1988 : Rétrospective « Expresionismo frances », dans le cadre de l'échange d'expositions Maurice Rocher/Pedro Giralt, peintre et sculpteur, Abbaye de l'Escaladieu (France) /Abbaye de Veruela (Espagne).

1988 : Rétrospective « Peintures 1966-1988 » les Cordeliers, Châteauroux. Intervention de la cantaora flamenca, Mona Arenas et du guitariste Vicente Pradal : « Que sont depuis quelques années mes « suppliciés » si ce n'est l'écho de la voix du vieux « cantador » qui dit la souffrance de l'homme, l'amour jamais comblé, et ce cri vers un ciel qui ne s'ouvrira plus… » MR

1989 : Ouverture de la Galerie Pierre Marie Vitoux avec Maurice Rocher, Ben-Ami Koller et Rustin, Paris. Expositions de 1989 à 2017.

1990 : Édition du Journal 1945/1983. « … mon journal, qui dans sa totalité (que je ne verrai pas publier) fera une œuvre, un tout. Aussi important et indissociable de mon œuvre de peintre… » MR

1991, Rétrospective Chapelle de la Sorbonne « Femmes et Visages 1946-1991 », Paris : « Je n'ai peint rien d'autre que l'Homme. Essentiellement le visage, le couple, la femme, la femme enceinte, la mère, l'épouse, l'amante… Sur cinquante ans, que de femmes, de couples…, de la paix douloureuse des premiers au déchaînement consumé des plus récents. » MR

« Une autre pensée m'obsède depuis des semaines : ce que deviendront l'ensemble de ces toiles et dessins ». MR

1993, Exposition « Notables » Galerie Olivier Nouvellet, Paris : « Hier, c'était ce marchand de la rue de Seine, inconditionnel de ma peinture, qui est là souvent, me vend, et pour lui-même a acheté 14 petites toiles depuis avril. » MR

1994, Rétrospective « Peintures 1981-1987 » à l'Européenne des Arts et des Evénements, Paris, signature des 2 ouvrages de Nathalie Cottin : « Maurice Rocher peintures 1986-1993 » et « Entretiens avec Maurice Rocher, Le Peintre, Dieu et La Femme ».

16 juin – 19 novembre 1995, « Rétrospective en 4 thèmes », Musée des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand : Eglises, Notables, Femmes et Couples, Suppliciés.
« Maurice Rocher, le dernier des maudits » F. Monnin.
«… de la période de l'Art Sacré jusqu'au « non retour » de ces dernières années. Ainsi, les Notables d'orgueils et de vanités se perdront dans l'illusion et la frivolité, les Couples d'étreintes et de passion finiront dans les abîmes et le néant, l'Homme de chair et de sang disparaîtra dans l'éternité, les Eglises de pierres et d'ornements deviendront révolte et cri du corps. » A. Canet, C. Haas Commissaires de l'exposition

Décède le 12 juillet 1995.

« Son décès… aura suscité peu d'échos. Ce presque-inconnu, comme il aimait à se nommer, malgré les nombreuses rétrospectives qui se sont succédé…, l'est resté jusqu'au bout… peut-être saurons-nous ce que nous venons de perdre : un grand peintre. Une puissance de feu, de sexe et de Dieu, un crucifié de la société… Blessé par la vie, diminué par la vue, Maurice Rocher semblait avoir trouvé une sorte d'apaisement vers la fin. Les lunettes obstruées d'un mauvais Scotch noir, les chaussures rafistolées, portant souvent cravate élimée et veste rapiécée, mais encore capable de rire, ce pessimiste fiévreux peignait ses noirs démons à la façon de fantômes du passé. Des anges des ténèbres devenus épures, enfin débarrassés de leur chair féminine, trop féminine, pour s'absorber dans un au-delà auquel il ne croyait plus, mais que sa peinture entière appelait de toutes ses forces. » Emmanuel Daydé

OEUVRES dans les MUSEES

En FRANCE:

Versailles, Musée Lambinet :

  • - L'Usine à gaz de Versailles, vers 1950, dessin, 29x37.
  • - L'Usine à gaz de Versailles,vers 1950, gouache, 31x38.

Poitiers, Musée Sainte-Croix :

  • - Piéta huile sur toile, 33x42, Collection des Musées de Poitiers.
  • - Lithographie originale, 32x22, illustration du poème J'arriverai à défaire la mort dans le livre Douze Poètes Douze Peintres, Collection des Musées de Poitiers.

Paris, Centre National des Arts Plastiques CNAP, Fonds National d'art contemporain FNAP :

  • - Fresque Résurrection, 1946, Eglise Saint Dominique, Paris.
  • - Cortège du Mort, 1953, 210x280, Mairie de Saint-Sever, Aquitaine.
  • - L' homme en prière, 1952, huile sur toile, 195x130.
  • - Le Décoré vert, 1979, huile sur toile, 100x81, Réalités Nouvelles de 1980.

Cannes, Musée de la Castre :

  • - Crucifixion, vers 1960, huile sur toile.
  • - Supplicié, vers 1985, huile sur toile.

Laval, Musée de Laval :

  • - La Grande Noce, vers 1966, huile sur toile, 161x215, Collection des Musées de Laval.

Saint-Omer, Musée de l'Hôtel Sandelin :

  • - Maire-Oiseau, 1973, 73x60.

Nantes, Musée des Beaux-Arts :

  • - Couple n°28, vers 1980-83, huile sur toile, 100x81.

Troyes, Musée d'Art Moderne :

  • - Carmen n°3, 1984, huile sur toile, 146x114.

Pontoise, Musée Tavet-Delacour :

  • - Couple,1977 dessin 32x23
  • - 1978, encre de Chine et gouache, 37x26.
  • - Le salon, 1978, encre de Chine et gouache, 32x24.

Brest, Artothèque du Musée des Beaux-arts de Brest :

  • - Couple, 1979, gouache, 37x27.
  • - Femmes et visages, 1981, gouache, 31x24.
  • - Couple, 1981, gouache, 40x30.
  • - Femme, 1982, gouache, 37x27.

A L'ÉTRANGER :

Bruxelles, Belgique :

  • - Musée Royal d'Art Moderne, La Grande Veuve Noire, 1981, huile sur toile, 146x114.

Kruishoutem, Belgique Fondation Veranneman

Wiesbaden, Allemagne, Ministère des Sciences et des Arts de Hesse :

  • - Nativité, 1956, huile sur toile, 130x162.

Rome, Italie, Cité du Vatican, Musée d'Art Sacré Contemporain

Chihuahua, Mexique, Musée de Cuauhtemoc

Taïchoung, Taïwan, Musée d'Art Contemporain de Taïchoung

VITRAUX

  • Versailles, Eglise Sainte-Jeanne d'Arc : vitraux, 1977
  • Pontmain, Basilique Notre-Dame : vitraux, 1975
  • Solesmes, Abbatiale Saint-Pierre : vitraux, 1974
  • Auray, Basilique : vitraux, 1973
  • L'Isle-Adam, Eglise Saint-Martin : vitraux, 1970
  • Plouharnel, Abbaye Sainte-Anne de Kergonan : vitraux, 1970
  • Vitré, Chapelle de la Maison Mère des Sœurs de Guilmarais : vitraux, 1970
  • Elnes, Cathédrale : vitraux, 1969
  • Caen, Abbaye-aux-Dames, Eglise de la Trinité : vitraux, 1968
  • Kermaria, Chapelle de la Maison Mère des Sœurs : vitraux, 1968
  • Abbeville, Eglise Saint-Gilles : vitraux, 1966
  • Auray, Petit séminaire Sainte-Anne : vitraux, 1965
  • Landévennec, Abbaye bénédictine : vitraux, 1966
  • Langrune-sur-Mer, Eglise : vitraux, 1966
  • Versailles, Chapelle du Grand Séminaire : vitraux, 1964
  • Châteaulin, Juvénat des frères de Plöermel : vitraux, 1963
  • Le Pecq, Eglise Saint Thibault : vitraux, 1962
  • Toulouse, Cathédrale Saint-Étienne : vitraux, 1962
  • Cavigny, Eglise : vitraux, 1961
  • Merville, Grand séminaire : vitraux, 1961
  • Nantes, Basilique Saint-Nicolas : vitraux, 1961
  • Caen, Abbaye-aux-Dames : vitraux, 1960
  • Hagondange, Eglise : vitraux, 1960
  • Évron, Chapelle de la Maison Mère des Sœurs de la Charité : vitraux, 1959
  • Sainteny, Eglise Saint-Pierre Saint-Paul : 1959
  • Bretteville-sur-Laize, Eglise Notre-Dame de la Visitation : vitraux, 1958
  • Lyon-Vaise, Eglise : vitraux, 1958
  • Nantes, Eglise Notre-Dame-de-Toutes-Aides : vitraux, 1958
  • Wimereux, Eglise Immaculée Conception : vitraux, 1958
  • Aron, Eglise : vitraux, 1957
  • Royan, Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption : vitraux, 1957
  • Brest, Eglise Saint-Louis : vitraux, 1956
  • Château-Gontier, Basilique Saint-Jean : vitraux, 1956
  • Mayenne, Basilique Notre-Dame : vitraux, 1956, Eglise Saint-Martin d'Aron : vitraux
  • Guernes, Eglise Notre-Dame : vitraux, 1955
  • Saint-Nazaire, Couvent des Franciscains : vitraux, 1955
  • Athis-Mons, Eglise Notre-Dame-de-la-Voie : vitraux, 1954
  • Coutances, Chapelle du séminaire : vitraux, 1954
  • Le Mesnil-Véneron, Eglise Notre-Dame-de-la-Salette : vitraux, 1953
  • Thaon, Eglise : vitraux, 1953
  • Courseulles, Eglise Saint-Germain : vitraux, 1952
  • Royan, Eglise : vitraux, 1952
  • Strasbourg, Institut Notre-Dame de Sion : vitraux, 1951
  • Sainte-Suzanne-et-Chammes : église Saint-Pierre de Chammes: vitraux, 1951; 14 tableaux du Chemin de Croix.
  • Beaumont-en-Auge, Eglise : vitraux, 1950
  • Nyoiseau, Eglise : vitraux, 1948
  • Paris, Eglise Saint-Dominique : Le Verbe et la Parole, fresque ornant la voûte en cul-de-four, 1946

Irlande :

  • Dublin, City Gallery The Hugh Lane, The Scourging : La Flagellation vitrail, 1970, 38x28

Belgique :

  • Bastogne, Eglise : vitraux, 1969
  • Humain et Hargimont, Eglise de Réchrival : vitraux, 1958
  • Marloie, Eglise Saint-Georges : vitraux, 1955

Mexique :

  • Guadalajara, temple expiatoire : vitraux, 1966

Grand-Duché du Luxembourg :

  • Clervaux, Abbaye : vitraux, 1960

BIBLIOGRAPHIE

  • " Maurice Rocher, Biographie d'un expressionniste ", Anne Rocher, 2025.
  • " Maurice Rocher, Peintures 1986-1993 ", Texte de Nathalie Cottin, Editions Altamira, Paris, 1994, reprod.
  • " Entretiens avec Maurice Rocher, Le Peintre, Dieu, la Femme ", Nathalie Cottin, Editions Altamira, Paris, 1994.
  • " Maurice Rocher Journal 1945-1983 ", Laval, Éditions Siloë, 1990.
  • " Maurice Rocher " Peintures 1937-86, Gérard Xuriguera, Editions Mayer, Paris, 1987, reprod.
  • " Maurice Rocher, Femmes et Notables ", Textes de J.M. Dunoyer, J. Lemanceau, G. Xuriguera, Editions Art Moderne, Paris, 1983, reprod.
  • " Maurice Rocher Journal ", extraits, Centre International de l'Hospitalet, Barèges, 1981, reprod.
  • " Maurice Rocher " Gérard Xuriguera, Editions Art Moderne, Paris, 1979, reprod.

Catalogues monographiques

  • 1995, Musée des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand, Exposition Rétrospective en quatre thèmes, Textes de N. Cottin , M. Rocher.
  • 1994, Abbaye de St-Riquier, Exposition Rétrospective, Textes de N. Cottin , M. Rocher.
  • 1991, Paris Chapelle de La Sorbonne, Exposition Rétrospective, Textes de N. Cottin , M. Rocher.
  • 1986, Musée de la Castre, Cannes, Exposition Rétrospective, Textes de F. Nédellec, J. Clair, M. Rocher.
  • 1986, Musée d'Art Moderne de Troyes, Exposition Rétrospective, Textes de M. Rocher, Ph. Chabert, G. Xuriguera, B. Dorival, J.J. Lévèque, M. Lelong, J.M. Dunoyer.
  • 1981, Musée de Laval, Exposition Rétrospective, Textes de Ch. Schaettel, G. Xuriguera, M. Rocher, "Journal " extraits.

Films

  • Maurice Rocher, Exposition Rétrospective, Musée de Laval, Charles Schaettel, 1981, 14'.
  • Maurice Rocher, " Itinéraire " par Philippe Huneau, I.N.A. 1986, 15'.
  • " Maurice Rocher, l'Expressionniste ", Film court, Montage de Tioma Tchoulanov, images tirées du Film de Franck Saint-Cast " Maurice Rocher, l'Expressionniste ", 2014, 8'.
  • " Cinq peintres expressionnistes " Maurice Rocher, Orlando Pelayo, John Christoforou, Bengt Lindström, Vladimir Veličković, T.F.1, I.N.A, film réalisé par Charles Chaboud avec Gérard Xuriguera, 1984.
  • Audio-cassette, " Entretiens de Françoise Monnin avec Maurice Rocher ", Dart, Paris.